Yoga et breakdance..
enfin plutôt danse que yoga car le Yoga ne se limite pas à des positions de souplesse !!
quelle légereté !!
enfin plutôt danse que yoga car le Yoga ne se limite pas à des positions de souplesse !!
quelle légereté !!
Les exercices de torsions sollicitent très efficacement les fibres musculaires un peu à la manière dont on essore une serpillère. Les forces générées par la rotation musculaire sont infiniment supérieures à celle d’une simple traction. De plus, effectuer des exercices en torsion du buste par exemple prévient des problèmes de dos Il en va de même pour les genoux. Faire des séries de squat (flexion des jambes sur un plan sagittal avec une barre sur les épaules), renforcera vos cuisses et une partie des muscles de vos genoux mais une partie seulement ! Elles n’auront aucun effet pour prévenir des rotations de genoux trop violentes telles qu’on les rencontre dans le ski et les accidents qui en découlent.
Les exercices en bascule renforcent considérablement les cuisses en sollicitant la sangle abdominale (lorsque le corps est en arrière) et étirent les muscles lombaires (lorsque le corps est en avant). De plus, ils développent chez le pratiquant une plus grande tolérance à changer de niveaux avec la tête.
Les exercices d’ondulations du buste musclent et étirent le dos en profondeur et durablement. Pourquoi ? parce que chaque zone vertébrale propage le même mouvement à la zone voisine et cela du coccyx à l’occiput et inversement ; ce qui n’est pas le cas lors d’une simple flexion du buste puisque la zone de levier reste la même à savoir la zone lombaire. Avec la pratique, l’amplitude ondulatoire de la colonne vertébrale augmente, ce qui prouve que les muscles qui enserrent cette dernière s’assouplissent et se musclent en même temps. A noter que les exercices d’ondulations sont excellents pour prévenir les lumbagos….
Les exercices dits de combinaisons « Yin/Yang » alternent des mouvements lents effectués avec une grande amplitude musculo-articulaire et des mouvements rapides et explosifs. L’intérêt de cette combinaison pour le pratiquant est d’augmenter sa capacité, et donc sa facilité, à réagir aux sollicitations soudaines de la vie courante (glissade, incident…). Pour des raisons opposées mais complémentaires, on pratiquera alternativement des exercices à rythme constant pour sentir le geste en profondeur et des exercices à rythmes fractionnés pour développer ses facultés d’adaptabilité à l’effort.
Les postures dites « immobiles » renforcent la résistance musculaire et apprennent au pratiquant à « se relâcher dans le fond mais non dans la forme». Ces exercices sont comparables aux positions (« asanas ») de Yoga. Exécutées de manière « immobile », elles ne sont pas à confondre avec le stretching dit « passif » qui ne sollicite aucunement la tonicité musculaire.
Les exercices « respiratoires » qui s’inspirent (mais pas seulement…) de ceux pratiqués en Yoga (« Pranayama ») dont les buts sont d’apaiser l’esprit, contrôler le souffle en prenant conscience de sa respiration ;
Une pratique complète kayoshi aborde l’ensemble des exercices ci-dessus évoqués en conjuguant leurs bienfaits. De plus, il est bon de rappeler qu’une pratique intelligente, raisonnable et raisonnée restera à l’écoute de son corps en privilégiant telle ou telle approche en fonction de sa disponibilité corporelle du moment et des saisons. Par période de grand froid par exemple, le corps ayant envie d’ »hiberner », les exercices axés sur l’intériorité, la profondeur, l’étirement seront à privilégier.
Quelques témoignages...
« KAYOSHI m'a reconnectée avec moi-même en apportant des outils qui m'aident au quotidien à solliciter différemment mes énergies" Sophie H. responsable paie
"pratiquant d’arts martiaux de longue date, j’ai découverts dans Kayoshi des exercices réellement originaux d’assouplissement du corps, sans oublier les techniques d’ondulations, de torsions et d’équilibre qu’il faut combiner et enchainer tout au long du cours...étonnant ! " Martial M, consultant
"faire du karaté ? bof.. le côté martial ou compétitif ne m’attiraient pas. Le Yoga ? ca ne bouge pas assez ? le GI CONQ ? pas assez explosif… en suivant les cours de Kayoshi, j’ai découverts une méthode complète mariant renforcement musculaire et étirements le tout dans une ambiance très conviviale !..." Constance B, chef d'entreprise média
"Sportif depuis toujours, KAYOSHI m'a montré que le travail de l'énergie sous plusieurs angles ne se limite pas à la simple dépense physique et qu'il apporte bien plus question bien-être..." Victor M. commercial packaging
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Enfin, se poser la question de savoir si « faire ou avoir fait un sport est-il un avantage ou un inconvénient pour démarrer le kayoshi ? » n’est pas toujours suffisant pour répondre par oui ou non. Encore faudrait-il savoir de quel sport parle-t-on, à quelle fréquence est-il pratiqué et par qui (âge, niveau…).
[1] il faudra toutefois veiller les premiers cours à ne pas « se lâcher » dans les exercices d’ondulations ou de bascule du corps qui peuvent solliciter exagérément sans entrainement le bas du dos notamment.
[2] si, si ca existe, il y en a ! d’anciens rugbymen, passés la quarantaine et quelque peu abimés par les chocs à répétition, ne peuvent plus supporter les chocs et contacts physiques à répétition. Soulever de la fonte, ce n’est pour certains, pas « leur truc » tout comme se retrouver à pédaler sur un vélo autour d’un hippodrome ou faire de la course à pied en sous bois. Que faire alors ? de la salle bof… du kayoshi oui !